Les pieds dans les plats!

La journée de demain s’annonçait bien. Je pouvais le dire juste en regardant les rayons rosés que le soleil nous lançait avant de nous quitter pour la nuit. J’étais assise sur mon lit à regarder ce spectacle par la fenêtre. Je me suis demandée bien des fois pourquoi nous n’avions pas le droit de sortir la nuit… même si je savais pourquoi.

Assise en tailleur sur mon lit, j’accotai mon visage dans mes mains. Je ne savais plus trop quoi penser maintenant. Mes parents m’ont annoncé que mon frère est très malade et ils ne savent pas ce qu’il va lui arriver.

J’avais le goût de pleurer. Pas parce que je suis triste, mais parce que dernièrement, ma vie n’a aucun sens. Je devais me vider le cœur… en silence, où personne ne me verrait. Où je pourrais crier le fond de ma pensée sans que personne ne m’entende.

***

Une fois toutes les filles du dortoir endormies profondément, je pris ma veste, descendis en douce jusqu’au rez-de-chaussée et sortit du château. Il faisait sombre, mais pas assez pour que je ne voies rien. Je m’assurai que personne ne m’ait vue, puis je me transformai.

Dès la transformation accomplie, je pris le grand galop vers le seul endroit où je pourrais être seule en ce moment : Le lac. *Au moins, personne ne m’y trouvera. Je me fiche du danger, pourvu que je puisse me vider le cœur.*

Je galopai longtemps avant d’arriver à destination. Je sautai au-dessus d’un arbre tombé, puis émergea de la forêt, juste au bord du lac. J’étais soulagée… enfin seule. Je vérifiai les alentours, écoutant chaque son que mon ouïe de cheval me laissait entendre. Puis, je me rapprochai de l’eau.

Je regardai longuement mon reflet dans l’eau. Quelque chose… clochait. Comme un mauvais feeling. Je levai le regard vers la berge et aperçut… un groupe de cinq mangemorts !

Paniquée, je repris la galop vers la forêt. Cette réaction eu pour effet de déclencher une vague de stupéfix de la part des mangemorts. L’un d’eux me frappa la patte arrière gauche. J’étais en plein milieu d’une foulée de galop, et mes jambes paralysèrent, ce qui me fit manquer ma foulée et trébucher. Une plaie s’ouvrit sur mon épaule et mon genou droit.

Satisfait, les hommes en haillons contournèrent le lac, restant sur les berges. Arrivés à quelques mètres de moi, ils pointèrent tous leur baguette sur moi. Le regard effrayé, je fermai les yeux en attendant le sortilège de mort.

Les secondes furent interminables. Je ne risquai pas d’ouvrir les yeux. Les seules choses que je voulais savoir étaient :

1. Si j’étais morte.

2. Ou si j’étais vivante.

3. Si quelqu’un était venu me sauver.

4. Si tous les mangemorts avaient disparus et que je vivais avec quelques blessures mineures.

*Allez, Sélénia ! Ouvre les yeux et tout ira bien.* Je me décidai en fin. J’ouvris les yeux et consatai avec horreur que les mangemorts allaient me sauter dessus. Ou ils me sautaient dessus… ou encore, ils étaient figés en plein action.

- Vite ! Par ici !

Quelqu’un venait de me parler. Je regardai devant moi, vers la forêt. Il y avait quelqu’un dont je ne voyais presque pas le visage. Je me levai et, péniblement, me rendis jusqu’à la personne en question.

- Vite ! Il faut partir maintenant !

Je suivi la personne sans rechigner. Sauf qu’à un moment donné, je m’effondrai, incapable de supporter la douleur de mes plaies.

Au sol et sans défense, je repris ma forme humaine. Et avec mes yeux humains, habitués à la noirceur, j’aperçus le visage de mon sauveur… puis je m’évanouis.

Qu’est qu’y lui avait donné l’idée de se baladé, c’était nulle autre que la jeune Armstrong. Alors qu’il n’arrivait pas à dormir- ben quoi sa arrive a tout monde- il sortit de son lit pour allez devant le foyer. Il prit sa robe de chambre du les épaules et sortit du dortoir. La jeune sortait du la salle commune des lions alors que lui descendait les marches. Il décida de la suivre. Il voulait savoir ou elle allait. D’ailleurs, elle était équipée de sa cape d’hiver, devait-il faire la même chose? Oui, il retourna sur ses pas pour y prendre sa cape d’hiver. Il la déposa sur ses épaules et dans le plus grand silence – dans la limite du possible- il sortit de l’antre des lions. Rapidement, il prit la route vers l’extérieur de l’école. En fait, son détour l’avait fais perdre sa trace. Mais bon t’en qu’a être sorti, autant allez jusqu’au bout d’ailleurs, il avait des papillons dans le ventre et ne savait pas pourquoi. La descente vers la sorti ne fut pas facile car il du faire un détour pour évité Rusard, se qui choqua le garçon vu qu’il avait laissé sa carte du maraudeur dans sa valise – quel idée pff, il est doué pour se mettre dans le pétrin.

Au bout d’une demi-heure, il était finalement sorti du château. Bon, ou était donc Kayla? Il y avait bien des traces dans la neige, surement celle de Kayla (en fait ce sont ceux de Sélénia, mais il faut dire que ce n’est pas écrit sur les traces). Dehors, le fond de l’air était glacial et le ciel complètement dégagé laissant la liberté aux êtres humains d’y contemplé les étoiles. Par contre le garçon sans désintéressa rapidement. Il continua la piste jusqu’au moment ou la forme des traces se transformèrent en trace de cheval. Par contre, un bruit attira son attention car comme tout drôle sortir d’un de ses films d’horreur quelqu’un sorti de la lisière de la forêt qui bordait le lac et elle s’écroula sur le sol. James témoin de la scène. Rapidement, il courut vers la personne. Il était loin de se douté de se qui venait de cette personne venait de subir. Rapidement, il s’accroupit près d’elle.

- Hey, s’il te plait, réveille-toi! Pour l’amour du ciel, réveille-toi! dit-il quelque peu paniqué mais sa tentative ne résulta en rien. Les bruits dans la forêt. James se leva, et tenta de la prendre dans ses bras mais elle était trop lourd –hheee…. Il n’est pas fort comme garçon. Bref, il la prit par le bras pour la tirée. Dans le but de l’éloigné de la forêt. Quelques pieds plus loin, James tomba près d’elle. Essoufflé de l’avoir tiré. Il s’approcha d’elle et tenta de la réveillé encore une fois.

- Allez réveille-toi?

J’étais couché sur mon lie, les yeux grands ouverts incapable de dormir. Je poussai un long soupire. Je me redressai et marcha jusqu'à une fenêtre. Je grelottai juste a voir la température qu’il fessait a l’extérieur. Fau dire que je n’étais pas vraiment vêtu en se moment. C'est-à-dire d’un boxer et d’une légère camisole blanche. Puis soudain sen prévenir Kisa poussa des complaintes, comme si elle était dans ses chaleurs. ‘’ Elle est opéré, qu’es qui lui prend? ‘’ Elle recommença, je l’attrapai comme je pus et lui mis une main devant la gueule.

-Mais tai toi tu va réveiller tout le monde.

Lui dis-je comme si elle était humaine, je savais bien qu’elle ne comprenait pas se que je venais de lui dire, mais sa sortais tout seul. Je retiens un cri, merde elle m’avait griffé… Depuis quand elle fessait sa elle?! Un peu frustré je me mis à sa poursuite dans la grande chambre que je partageai avec d’autres. En fessent le plus attention possible pour ne pas les réveiller. Kisa se faufila et me guida jusqu'à la salle commune. Et se mis à miauler pour sortir.

-Attend, tu veux sortir, tout sa pour sa… Je vais plus m’habiller. Je reviens.

Je remontai un peu bougon, mis un pantalon, des bas, soulier et une veste en polard et la rejoint dans la salle commune. J’ouvris la porte et sorti suivi de la duchesse qui passa devant. Je croyais qu’elle voulait aller chasser, mais a la place de se diriger vers les cuisines elle prit la direction du grand hall d’entré. Sen rien dire j’ouvris la porte et sorti avec elle. J’écarquillai les yeux quand elle se mit à courir devant.

-Mais qu’es que tu veux me montré à la fin?

Lui dis-je en la suivent du mieux que je pouvais dans la neige, ok pas très nombreuse, mais au vent puisent et froid. J’arrivais à la garder en vu grâce a son pelage roux à certain endroit qui ressortait de la neige blanche. Je stoppai mon avancer quand je vis des silhouettes un peu plus loin. J’accélérai le pas considérablement quand je reconnu la jeune Sélénia. James étais juste accoté d’elle apparemment épuiser. Il l’avait trainé, de faute de pouvoir la porté.

-Sélénia!!

Malgré la neige je m’agenouillai près d’elle. J’allais lui demander ce qu’il c’étais passer quand je vis le sang sur la neige. Elle était blessée. Je tournai les plais a vu et sorti ma baguette. Je la fis aller et venir au-dessus en répétant une formule de guérison que j’avais apprise auprès de Rick. Bientôt les deux plais se refermir a son grand soulagement.

-Tu va bien?

Demandais-je a James en levant mes yeux noir sur lui.

James avait tenté de tiré la jeune fille pour l’éloigné de la forêt. James savait que la forêt était particulièrement dangereuse mais pas seulement à cause des sombres créatures qui y vivaient, mais de la présence des mangemorts qui y rodaient. Pourquoi? Il l’ignorait mais c’était surement qui voulaient quelques choses dans l’école ou quelqu’un…. Bref, bien qu’il soit de Gryffondor, il n’était pas suicidaire tout même. Résulta, il n’y avait jamais mis les pieds mais il n’hésiterait pas un seul instant s’il le faillait. James avait rapidement remarqué la blessure de Sélénia (il ignore son nom pour l’instant) mais malheureusement, il ne connaissait aucune formule de guérison. Il était encore trop jeune pour les savoir.

D’ailleurs, le jeune Gryffondor était complètement gelé alors qu’il tenait tant bien que mal de réveillé la jeune élève qui semblait bien jeune, surement une première année. Alors qu’il tentait de la réveillé un autre élève arriva tout en appelant la jeune fille par son prénom. C’était nulle autre que Nikko, le chien jaune de Poudlard. Surtout les élèves de Poudlard, il a fallu qui tombe sur lui. Il aurait 100 fois préféré tombé sur McGonagall que sur lui. Mais bon vu la situation, il ravala sa colère vis-à-vis le garçon. Sans qu’il s’intéresse à lui – ben quoi il y avait une urgence. Le cinquième année s’accroupi près de la jeune fille. Rapidement, il murmura une formule magique qu’il ne comprit pas. C’était sans importance. Il était inquiet pour la jeune fille du nom de Sélénia. Elle était jolie avec ses cheveux blonds enfin c’était se qu’il en déduisait avec les rayons de la lune. Il leva les yeux vers Nikko. Malgré sa haine envers lui, il le remercia du regard (oui oui... sa lui a couté énormément de remercier le chien jaune)

- Il faudrait l’emmener à l’infirmerie avant qu’elle aille des engelures.

Oui bien sur. J’enlevai ma veste et la mis a Sélénia toujours inconsciente, ensuite j’entrepris de la prendre dans mes bras. En voyant Kisa arriver tremblante je poussai un soupire de découragement. Je me repenchai assez bas et elle sauta pour atterrie sur mon épaule droite. C’était pratique d’avoir un chat de petite taille. Je me levai à nouveau tout en regardent James et lui fit signe de me suivre. On n’était pas si loin de l’entré principale, James ouvris la porte avec prudence. Une fois entré ont se dirigea vers l’infirmerie dans le plus grand silence qu’on pouvait. L’infirmerie étais tout près et j’accélérai le pas et entra sen plus attendre. Je posai Sélénia sur le premier lit que je vis et alla voir Madame Pomfresh qui venais déjà vers nous.

-Mais, mais vous pouvez vous expliquer tout les deux?

Dit-elle en voyant la jeune Poufsouffle étendu sur le lit, inconsciente. Je regardai James, puis reposa mes yeux sur l’infirmière.

-Je ne connais pas toute l’histoire. Kisa étais devenu istérique dans le dortoir et elle ma mener jusqu'à l’extérieur. Là où j’ai trouvé James qui aidaient Sélénia, elle était blessée, mais j’i est remédier

Je penchai la tête, je savais que j’allais avoir des problèmes pour être sorti la nuit, mais je n’aurais pas pu ne pas les aider. C’était contre ma nature.

-Madame Pomfresh je vous en pris, occupé vous de Sélénia. Je ne pouvais pas les laisser frigorifier dans la neige. Je ne suis pas de ceux qui sen fou, c’est pourquoi je les est aidé. Maintenant faite votre travaille, aider la.

Je reculai de plusieurs pas tout en ayant un gros frisson qui me parcourra le corps. Je respirai profondément plusieurs fois. Cette situation me mettais dans tout mes états et la raison étais que toute jeune fille en danger je ne pouvais m’empêcher de penser a Meï. Ma petite puce de sœur, la seule vrai famille qui me restait. C’est pour sa que j’aidais les gens, pour sa que j’accordais plus d’attention et plus jeunes, je ne voulais pas qu’il ne leur reste qu’une être cher à aimer. Parce que c’étais dur de perdre des êtres a qui on tien plus que tout. Elle fit apparemment touchée car elle ne dit rien et s’approcha d’avantage de sa patiente.

-Bien partez tout les deux, avent que quelqu’un s’aperçoivent que vous n’êtes pas dans vos lits.

Nous dit-elle. Je fis un signe aprouvateur de la tête et sorti de l’infirmerie accompagner de James.

J’ai été inconsciente pendant au moins une dizaine de minutes. Je ne savais pas trop ce qui se passait dans la réalité, mais en ce moment je me sentais comme si j’étais sur un nuage, tout doux et moelleux. J’avais l’impression de voler…

Soudain, j’ouvris les yeux et me relevai brusquement en haletant, comme si je venais de courir le Marathon. J’avais froid, surtout au niveau des joues, et je remarquai que je ne me trouvais plus dehors, mais bien à l’infirmerie. Mme Pomfresh était plus loin et parlait avec deux autres. L’un d’eux me semblait familier, et l’autre, eh bien… je ne le connais pas du tout. En tout cas, je pense…

Quelques secondes plus tard, les deux garçons se retournèrent. Je ne m’attendais pas trop à voir Nikko ici, encore moins James !

J’ai écarquillé les yeux de surprise. Comment suis-je arrivée ici ? Sûrement grâce à eux. Je n’aurais pas voulu que ce soit quelqu’un d’autre. Je me recouchai dans le lit de l’infirmerie avant que Mme Pomfresh me dise d’en faire autant.

En fixant le plafond, je me demandai ce qui aurait pu m’arriver si personne ne m’avait trouvée. Peut-être que j’aurais été mangée vivante par des loups assoiffés de sang humain… ou même décapitée en mille morceaux par ces mangemorts…

En regardant les deux garçons partir, je me suis dit une chose : « Une chance qu’ils m’ont trouvée à temps ! »

Juste avant de partir, ils m’ont saluée. Je leur ai souri, puis mon regard a croisé celui de James. Aussitôt, je rougis. J’aurais tellement aimé avoir des écailles en ce moment ! Ou peut-être une peau naturellement rouge. Comme ça, rien n’aurait pu paraître.

Lorsque je fus seule avec Mme Pomfresh, elle me demanda de lui expliquer ce qui venait de se passer. J’hésitai à lui dire la vérité, car je savais que je pouvais être punie sévèrement pour avoir sorti la nuit. Mais bon, je lui racontai tout, le lac, les mangemorts, l’illusion qui m’a sortie de la forêt, puis mon inconscience.

Elle m’a dit de ne pas m’inquiéter, qu’elle garderait le secret, et elle a rajouté « puisque tu n’es qu’en première et que tu es encore jeune. »

Je lui fis un grand sourire, puis elle me dit de me reposer, que demain était une autre journée et que ce serait comme si rien n’était arrivé.

Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais fatiguée, maintenant, alors que quelques secondes plus tôt, j’étais complètement réveillée. Je m’endormis en posant la tête sur l’oreiller, en rêvant du beau James.

La suite des évènements se passa si vite que James en perdit le fils des évènements. Alors que quelques secondes plus tôt, il était dehors, il se retrouva à l’infirmerie avec le détestable Nikko – oui oui le détestable chien jaune – comme s’il s’était téléporté d’un endroit à l’autre. En fait c’était l’inquiétude vis-à vis la première année qui avait produit le phénomène du temps qui s’écoule rapidement. Alors qu’il était a l’infirmerie, Madame Pomfresh les bombardait de question mais James n’eux pas la possibilité de réponde puisque Nikko se chargeait de tous. Il trouvait sa révoltant de ne rien pouvoir dire! Mais ne fit pas un caprice d’enfant roi. Juste avant de retourner dans le dortoir des lions, James s’approcha de Sélénia. De sa main droite, il tassa une mèche blonde du visage de la fillette puis quitta l’infirmerie avec une promesse de revenir demain. Sans rien dire, il retourna au dortoir avec Nikko. Pendant leur escapade jusqu’au septième étage, James n’adressa aucune parole a son confrère. Arrivé devant le tableau de la grosse dame, demanda le mot de passe.

-Mot de passe, jeunes Gryffondors, demanda la dame du tableau aux Gryffondors devant elle.

-Jus citrouille.

Le tableau de la grosse dame, libéra le passage et James entra dans le passage. Nikko le suivis. James se retourna vers lui, sans réelle sourire il remercia le garçon qui l’avait aidé alors qu’il avait besoin d’aide pour aider la fillette. Imaginé se que sa venait de lui couté pour le remercier. Bref, alors qu’il allait près du feu, il vit Kayla qui était près du feu, sur le fauteuil en train de dormir. Il avait sur une table des restants de gâteau. James comprit qu’elle était sortir pour y prendre de la nourriture dans les cuisines. Il allait dormir après avoir effacé les traces du délit de la fillette (faute de pouvoir allez la porté dans son dortoir vu que les garçons ne pouvaient pas allez dans le dortoir des filles mais les filles pouvaient aller dans leurs dortoirs.

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Lendemain matin, alors qu’il était en période d’étude, James alla voir Sélénia avec un bouquet de fleur (une création de lui, faute d’avoir des vrais fleurs) En fait, le bouquet était des papillons qui formaient des fleurs, qui faisait aller leur ailes. Il les déposait sur la table de chevet dans un vase avec une boîte de Chocogrenouille. Il se présenta à la jeune fille, en lui demandant comme elle allait.

Madame Pomfresh nous chassa presque de l’infirmerie. Je la comprenais, bien sur. Je poussai un soupire en repensent a la petite Poufsouffle étendu dans le lit inconsciente, malgré sa chevelure blonde, elle me fessait penser a Meï. Ma sœur était un peu plus âgée, mais elle se comportait comme plus jeune parfois. Je marchai avec James jusqu'à la salle commune sen vraiment m’en préoccupé. Je n’avais pas la tête a me chicaner ou quoi que se soi. Je voulais dormir, un point c’est tout. Kisa sauta sur mon lit. C’est quand je voulu enlever des couches que je m’aperçu c’est que mon chandail chaut étais encore avec Sélénia. J’irais la chercher demain matin, avec une fleur. Je sais bien que sa n’étais pas comme un bouquet, mais une fleur peu avoir plus d’impacte, il suffisait que se soi la bonne. J’enlevai mes soulier et mon pantalon long et m’emmitoufla dans mes couverture et m’endormi presqu’aussitôt.

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Le lendemain matin je pris une douche bien chaude, m’habilla et descendu pour aller rendre visite a Sélénia. Entre temps je sorti ma baguette et changea l’une de mes plumes que j’avais dans l’une de mes poche, en beau tournesol. D’après moi c’étais celle qui la représentais le mieux. La jaune et noir étais un vrai rayon de soleil. Quand j’arrivai James étais déjà là. Une boite de chocogrenouille sur la petite table et un vase de leur papillon. James étais un grand romantique, mais le savais t’il seulement? J’en eu un sourire. Je m’avença vers le vase et y mis le tournesol, les laissent parler.