Isabella marchait dans un endroit lugubre. Elle ne savait pas où elle se trouvait, même si l'endroit lui rappelait vaguement quelque chose. Les planches craquaient légèrement sous son poid, produisant un bruit inquiétant. La poussière était encombrante, elle était partout. Sur les vieux abajoures vintage, les rideaux décolorés, les sofas mangés aux mites... D'un point de vue général, l'endroit était dans un état misérable. C'était comme si personne n'y était entré depuis longtemps. Mais poutant, Isabella entendait des voix. Mais ce n'était pas des mots clairs, déchifrabbles. C'était une série de sifflements et de sons étranges, et ils venaient de la Salle à Manger. Elle savait où aller, malgré qu'elle-même se demandait si c'était la bonne chose à faire. La seule source de lumière était bleutée, voir un peu verdâtre. Elle aussi venait de la Salle à Manger. Lorsqu'Isabella fut suffisament près de la porte pour acceder à cette salle, les sifflements arrêtèrent. La jeune femme s'arrêta et retint son souffle, la main sur la poignée.

- Bienvenue, Bella, sussura une voix qu'elle ne connaissait que trop bien. Entrez, nous vous attendions.

Enfin, elle tourna la poignée et entra dans la Salle à Manger. Contrairement au restant de la maison, la salle à manger était belle, entretenue, propre. Il y avait une dizaine de personne sans visage assisent autour d'une table de verre, au quelle était assis celui qui lui avait adressé la porte, au bout de la tablée.

- Nous t'avons réservé une place, juste ici, à côté de tes parents, lui dit poliment celui-ci, en lui montra de la main une chaise vide.

De sa démarche féminine, elle se rendit donc à sa place assignée, où elle s'installa. Elle n'arrivait pas à voir les visages des gens assit à la table. La seule personne qu'elle put appercevoir, ce fut son propre reflet dans le miroir qui venait d’apparaître sur le mûr devant elle. Étonnement, elle était plus vieille que ce à quoi elle s'attendait. Elle devait avoir aux alentours de 23 ans, mais pourtant, elle n'avait presque pas changé si ce n'était ses cheveux blonds qui, d'ordinaire extrêmement bien coiffés, étaient légèrement en bataille. Elle affichait des débuts de cernes, et semblait avoir maigri.


Isabella se réveilla en sursaut. Ce faisait des nuits qu'elle rêvait toujours à ce même endroit, cette même scène, ces mêmes gens sans visages... Elle ne savait pas qui ils étaient, mais elle avait tout de même quelques idées. Des mangemorts. Isabella s'était souvent battue avec son père afin de rejoindre leurs rangs, mais il avait insisté pour qu'il termine ses études. Foutaises, pensait-elle, Il ne veux simplement pas que je fasse mieux que lui!

Elle regarda l'horloge accrochée au mûr et y constata qu'elle était légèrement en retard. Rusard, le concierge, devait déjà être sur le point de ramasser les inscriptions pour la Sortie à Pré-au-lard d'aujourd'hui. Isabella aimait bien ces sorties, cela lui permettait d'aller faire quelques emplettes mais aussi de prendre un peu d'air. Elle devait acheter une nouvelle plume parce qu'un idiot de Poufsouffle lui avait piqué la sienne sans s'en rendre compte. Et comme elle ne savait pas elle se trouvait, un sort d'attraction n'aurait pas fonctionné. De plus, il lui fallait faire un tour à son compte à Gringotts - qui était, par ma fois, plein à craquer . Il y avait aussi un endroit qu'elle aimerait bien visiter: La cabane hurlante. Elle en avait beaucoup entendu parlé, mais n'avait jamais osé s'en approcher. En fait, ce n'était pas parce qu'elle n'avait pas "osé" mais bien qu'elle avait mieux à faire. Comme séduire quelques garçons aux trois balais pour avoir des Bierreaubeurs gratuites.

Elle s'habilla en deux trois mouvement, mais prit beaucoup plus de temps à se maquiller et à se peigner. Bella était revêtit d'un jeans serrés, d'une camisole muni d'un décolté ainsi que d'une chemise. Le temps s'annonçait bon: en effet, par la fenêtre, elle voyait le soleil briller à plein feux et les vents faisaient danser les arbres. Une température parfaite, se dit elle.

Lorsqu'elle eut terminé son eyeliner, elle cligna deux fois des paupières, sourit de satisfaction, et sortit du dorteoir. Isabella ne fut pas étonné de voir la Salle Commune vide, mais ne s'y attarda pas : elle était déjà assez en retard comme ça. Elle dévala les couleoirs de sa démarche singulière, et puis entra dans la Grande Salle. À son grand étonnement, elle n'était pas la seule à s'être réveillée en retard, alors elle en profita pour se glisser près d'une de ses amies, à la table des Serpentard.

- Bon matin Bella, lui lança son amie Emily, une petite asiatique aux traits sévères et à la coupe de cheveux coupé carrés.

La grande blonde prit une gorgée de jus de citrouille, et mit un toast dans son assiette.

- Ouais, merci de m'avoir réveillé, répliqua-t-elle.

La jeune fille assise à la droite d'Emily nommé Hanna ricanna un peu.

- Bein quoi, tu avais l'air si bien dans ton rêve que l'on aurait pas pu te laisser continuer, dit sarcastiquement la rouquine, en s'esclaffant un peu.

- Qu'est-ce que tu veux dire? demanda Isabella, un peu inquiète par cette étrange formulation des choses.

Les deux partenaires de dorteoir à Bella s'échangèrent un regard et puis Emily répondit.

- Tu te tortillais comme une démente! lança-t-elle, sans la moindre pitié. Tu avais vraiment l'air bonne pour Sainte-Mangouste.

Hanna pouffa a en cracher de son jus. Isabella se contenta de lever les yeux aux ciels et de terminer son toast. Après le petit déjeuner, ils donnèrent leurs autorisation à Rusard, et puis ils purent sortirent dehors. Ils embarquèrent dans les diligences qui se traînaient toutes seules, et arrivèrent enfin à Pré-au-lard. Isabella se rendit en premier à Gringotts où elle remplit sa bourse de gallions, et ensuite se dirigea vers le Trois Balais. Lorsqu'elle franchit le seuil de la porte, elle ne fut pas surprise de voir à quel point le club était plein à craquer. Elle y prit une bierreaubeur et puis resortit aussitôt, aillant d'autres emplettes à faire. C'est alors que quelqu'un lui fonça dedans.

- Aïe! dit Isabella, en se retournant vers le garçon qui la dépassait d'une tête, regarde où tu marches espèce d'imbécile!

C'est alors qu'elle reconnut le grand blond qui se tenait devant elle. Il faisait partit de Serpentard, lui aussi, et se nommait Toby. Toby Reid, si son souvenirs était bon.

- tu t'appelles Toby, n'est-ce pas? demanda-elle.

- Appel moi Reid. Isabella. Désolé je ne t’avais pas vu.

Isabella haussa les sourcils. " Tient un autre qui veut se rendre intéressant en changeant son prénom. " pensa-t-elle. Bella n'avais pas beaucoup d'estime pour les gens de son entourage. Peut-être mis à part Nathan, Serpentard ou pas, Sang-pûr ou Sang-de-bourbe, elle n'avait pas peur d'être crue ou légèremment trop franche. C'était comme si toute inhibitions n'avaient jamais exister : dire ce qu'elle pensait, c'était vraiment sa spécialité.

- Tu allais où comme ça? lui demanda-t-il.

Cette fois-ci, la jeune femme eut un sourire, moitié amusée, moitié perplexe.

- Eh bien en ce moment je m'en allais faire des emplettes avant que quelqu'un me rentre dedans et salisse ma camisole.

En effet, le tissus couleur saumon avait une étrange tache brune sur le bas. D'où elle était venue? Aucune idée. Pourtant, Toby... euh Reid n'était pas sal pour autant et il n'y avait aucune boue parterre. Sans s'attarder sur les détails insignifiants, Isabella pointa sa baguette vers la tâche et mumura " recurvite ". Immédietemment, la tache fut lavée au savon et disparut complètement.

- Voilà qui est réglé, dit-elle en enfonçant sa baguette de surreau dans la poche arrière de son jean. Bon eh bien, moi je m'en allais chez fleury et bott : J'ai fais flamber mon livre d'histoire de la magie par... euh ... accident... ? Quoi qu'il en soit Professeur Binns veut que je m'en reprocure un. De toute manière, le livre était plus confortable que la table pour un oreiller!

Elle se passa la main dans les cheveux. La brise était agréable, le soleil réchauffait ses pores. Elle aurait bien aimer voler sur son Nimbus 2019 aujourd'hui. Alors, elle se retourna vers son nouveau compagnon.

- Tu viens? dit-elle, en lui faisant signe de la suivre.

Ils se dirigèrent alors vers le libraire qui était relativement vide. Bott était occupé à ranger quelques livres dans de grandes étagères remplies qui débordaient de partout. Elles avaient l'air si fragile que si on les touchaient, elles tomberaient à la renverse. " Qu'elle horrible façon de mourir... à cause de livres " pensa Isabella avec dégoût.

- Eh bien en ce moment je m'en allais faire des emplettes avant que quelqu'un me rentre dedans et salisse ma camisole.

Commença-t-elle. Comment cette tacher étais arrivé là? Pas de moi je sortais de la douche. Isabella sorti sa baguette et fit disparaître la tache mystérieuse.

- Voilà qui est réglé, Bon eh bien, moi je m'en allais chez Fleury et Bott : J'ai fais flamber mon livre d'histoire de la magie par... euh ... accident... ? Quoi qu'il en soit Professeur Binns veut que je m'en re procure un. De toute manière, le livre était plus confortable que la table pour un oreiller!

Je restais là à l’écouter, un sourire au visage, sa fessais un grand bien d’avoir une conversation avec une Serpentard qui ne me détestais pas. Ou peu être qu’elle n’en avait pas entendu parler… Sa, sa m’étonnerais vraiment. Fleury et Botte, pourquoi pas, de toute façon j’avais un livre a aller chercher pour Emmy et un pour ma mère. Une brise se leva, elle se passa une main dans les cheveux avent de me demander si je la suivais.

-Tu viens?

Je lui emboitai le pat sen rien dire. La place étais pratiquement vide a se moment ci de l’année. Pas étonnent, elle allait se terminer bientôt, pourquoi se précipité pour acheté les livres de l’année à venir? Isa alla de son coté et moi du mien. Je me rendis au comptoir.

-Oui bonjour, vous avez reçu une commende au nom de Romilda Reid?

Lui demandais-je. Il vient vers moi puis se plongea dans son étagère derrière lui et me revins avec un ouvrage envelopper. C’étais plutôt curieux qu’il soi emballer comme sa. Il le posa sur le comptoir.

-Oui Romilda la bien commander, mais elle ma dit qu’il était pour son fils. Vous êtes bien son fils?

Je fronçai les sourcils, ma mère me cachait quelque chose. Je pris le livre enveloppé de soi noir brune.

-Oui je suis bien son fil, unique, Toby. Merci. Il est déjà payer je crois.

Lui dis-je en me disant que maman ne me ferais pas payer un livre qui m’étais destiner. Il hocha de la tête.

-Oui en effet.

Je m’éloignai du comptoir, pour me rendre dans un rayon spécifique pour trouver le livre que voulais Emmy. Je le trouvai finalement au bout de quelque temps. Une fois de plus je me dirigeai vers le comptoir, je lui donnai l’argent pour le payer et le fit emballer de papier brun. Je pris une plume et écrit une adresse sur le dessus. Emmy serais contente de le recevoir le plus vite possible.

-Merci.

Lui dis-je après lui avoir dit de l’envoyer par hibou à l’adresse indiquer. Je me tournai pour voir ou étais rendu Isabella.